10 septembre 2025 11:15
"Conjuring : L’Heure du jugement" conclut la saga Warren avec le plus gros démarrage de l’histoire de l’horreur
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© Conjuring : l’heure du jugement de Michael Chaves - Warner Bros. France
Le neuvième chapitre de l’univers Conjuring vient de débarquer en salles, et il frappe fort. Le dernier volet, L’Heure du jugement, ne se contente pas de prolonger la saga : il pulvérise les records, en devenant le meilleur démarrage au box-office de la saga aux États-Unis. Avec toujours plus de frissons garantis !
Le culte des Warren en apothéose
Lorraine et Ed Warren, incarnés magistralement par Vera Farmiga et Patrick Wilson, reviennent pour leur ultime combat contre les forces occultes. Cette fois, une mystérieuse entité hante une famille de Pennsylvanie, menaçant la dynamique fragile de leur foyer. Le duo, toujours aussi attachant, affronte ce nouveau mal avec une émotion intacte et une efficacité narratrice implacable.
© Conjuring : l’heure du jugement de Michael Chaves - Warner Bros. France
Un succès commercial monstrueux
Énorme succès critique et public, L’Heure du jugement réalise l’un des meilleurs démarrages pour un film d’horreur, dépassant notamment les chiffres de l’adaptation de Ça (2017). La saga Conjuring prouve qu’elle reste un mastodonte du genre, un imparable aimant à spectateurs assoiffés de peur.
© Conjuring : l’heure du jugement de Michael Chaves - Warner Bros. France
Équilibre entre sensibilité et épouvante
Même si certains reprocheront au film d’être parfois prévisible, force est de constater que l’équilibre entre moments de tension ciblée et instants d’émotion reste maîtrisé. Le film retrouve l’esprit des premiers opus, en misant sur la puissance de ses images et la relation complexe des personnages avec l’invisible. Un mélange d’angoisse et de tendresse rare dans l’horreur mainstream contemporain.
Conclusion : dernier coup de gong pour une saga culte
Conjuring : L’Heure du jugement conclut la saga avec panache, mêlant frissons, émotion et maîtrise du récit. La performance au box-office confirme un engouement intact pour les Warren, et rappelle que la peur, quand elle est bien racontée, reste le meilleur compagnon du cinéma.