23 avril 2025 10:20
"OutRun" : Michael Bay adapte le jeu culte de Sega au cinéma
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Alors que les adaptations de jeux vidéo cartonnent en salles, un nouveau projet surprenant se lance : OutRun, le célèbre jeu d’arcade signé Sega, va faire l’objet d’un film en prises de vue réelles.
Aux manettes ? Rien de moins que Michael Bay, spécialiste des blockbusters explosifs, accompagné de Sydney Sweeney, ici coproductrice. Une association inattendue pour une œuvre qui promet d’allier nostalgie et grand spectacle.
Un jeu culte des années 80 prêt pour la vitesse cinéma
Sorti en 1986, OutRun est l’un des plus grands succès des salles d’arcade. Le concept ? Simple, mais efficace : vous incarnez un conducteur lancé à toute vitesse dans une Ferrari Testarossa décapotable rouge, accompagné d’une passagère blonde, à travers des paysages variés, en évitant les autres véhicules et les sorties de route.
Le jeu est célèbre pour sa maniabilité accessible, ses routes à embranchements multiples, et surtout sa bande-son synthwave devenue iconique.
Michael Bay derrière la caméra, Sydney Sweeney à la production
D’après les informations partagées par Écran Large et IGN France, Michael Bay a été confirmé comme réalisateur. Connu pour ses films survitaminés (Transformers, Bad Boys, Ambulance), il semble particulièrement à l’aise pour transformer OutRun en course effrénée à travers des décors grandioses et des explosions bien senties. À la production, Sydney Sweeney (actrice révélée par Euphoria et The White Lotus) s’essaie ici à un nouveau rôle, en copilotant le projet aux côtés de Sega. Le scénario est confié à Jayson Rothwell, qui aura la tâche d’imaginer une histoire originale autour de cette course nostalgique.
Sega accélère dans le cinéma après Sonic
Après les succès des adaptations de Sonic, Sega poursuit son offensive cinématographique. OutRun est produit en collaboration avec Toru Nakahara, déjà impliqué sur les films Sonic the Hedgehog, et Shuji Utsumi, actuel président de Sega, qui supervise l’ensemble du projet. Pour Sega, l’enjeu est de capitaliser sur ses licences phares et de séduire autant les trentenaires nostalgiques que les jeunes spectateurs fans de cinéma d’action.